Cette liberté individuelle, ce droit à l'autonomie a donc un effet sur la collectivité et sur sa vision de la fin de vie.
Comme de nombreux orateurs, je soulèverai aussi une question de forme : un sujet aussi grave, plus complexe encore qu'il n'y paraît, ne peut pas se traiter en quelques heures de débat. C'est la deuxième raison qui me pousse à être défavorable à cette proposition de loi.