Deux principes ont beaucoup été invoqués au cours des débats : celui de dignité et celui de liberté. À propos du principe de dignité, Olivier Faure lui-même a dit qu'il pouvait être fallacieux de s'en réclamer en la matière. Je le crois moi aussi, parce que la dignité est consubstantielle à notre humanité et qu'aucun être humain ne devient indigne parce qu'il tombe malade.