La façon dont le débat sur la fin de vie a été engagé démontre que le débat de fond n'est pas souhaité. J'aimerais interroger M. le rapporteur sur un point précis : à la lecture du rapport de la commission des affaires sociales, on constate que nos collègues Claeys et Leonetti, qui furent à l'origine de la loi éponyme relative aux droits des malades et à la fin de vie, n'ont même pas été auditionnés !