en ne débattant pas alors qu'elle avait la possibilité de le faire. Même en débattant normalement, nous n'aurions pas forcément terminé l'examen du texte, mais au moins aurions-nous pu avancer. Prêter à Olivier Falorni – qui n'est pas de mon groupe – l'intention que son texte permette de décider de mettre fin à la vie en cas de dégénérescence maculaire est impensable, et je profondément choqué d'entendre certains le suggérer.