Je voudrais aussi remercier Olivier Falorni d'avoir permis ce débat en l'inscrivant à l'ordre du jour, et je voudrais m'adresser à la majorité : maintenant, la balle est dans votre camp. Nous pouvons continuer ! Monsieur le secrétaire d'État, je voudrais vous remercier pour avoir exprimé un avis de sagesse en évitant de consommer du temps de parole – nous l'avons remarqué. À vous, désormais, d'inscrire ce texte à l'ordre du jour, quand vous le souhaitez et avant la fin du mandat, s'il vous plaît.