Cet amendement va dans le même sens que les précédents. Avant d'envisager une trajectoire de hausse de fiscalité sur le gazole, on doit s'appuyer sur les conclusions du groupe de travail créé par le ministère et étudier les solutions de décarbonation des véhicules afin de prévoir des dispositifs d'accompagnement.
Au total, 600 000 véhicules sont concernés, alors qu'à la fin de l'année prochaine, nous ne pourrons mettre en service que 1 000 véhicules électriques. Parce que le problème est réel, prenons le temps d'avancer des solutions avant de brandir la sanction.