Même avis, dans le droit fil de ce que vient de dire M. le rapporteur. Non seulement nous poursuivons nos efforts, notamment auprès de l'OMI, l'Organisation maritime internationale, pour construire la fiscalité internationale requise par ce secteur où la concurrence est mondiale, mais ce dernier a également entrepris de décarboner sa propulsion, au GNL – gaz naturel liquéfié – aujourd'hui et à l'hydrogène demain, de réduire la vitesse commerciale des marchandises, ce à quoi se sont notamment engagés de grands groupes français. S'y ajoute l'électrification à quai, évoquée par M. le rapporteur : la France est particulièrement en avance dans ce domaine, à Marseille et ailleurs. Encore une fois, tous ces efforts se poursuivent en vue de décarboner ce mode de transport ou du moins d'en réduire autant que possible l'impact sur l'environnement.