Merci monsieur le président Maurer, et merci à l'ensemble de vos salariés et bénévoles qui font un travail extraordinaire, d'autant plus dans cette période de crise. Votre travail est rendu plus difficile car des structures sociales ont dû fermer leurs portes faute de bénévole, et la chaîne de solidarité a dû se réorganiser. Dans certaines villes il y a eu jusqu'à cinq fois plus d'affluence à la Croix-Rouge qu'en temps normal. Il y a les bénéficiaires réguliers, et ceux que la crise et le confinement ont fait basculer dans la précarité, qui correspondent différents publics : des familles, des jeunes, des migrants, etc. Ne craignez-vous de garder demain tous ces nouveaux bénéficiaires fragilisés par la crise, ces gens durement touchés par le confinement qui le seront encore post-confinement ?