. Je voudrais revenir sur l'axe géopolitique que vous avez abordé et, selon vos propres mots, sur l'inquiétude du Liban concernant l'annexion israélienne et la voie de sortie que vous avez privilégié à travers une approche d'engagement et non d'affrontement. À ce sujet, vous aviez évoqué au début du mois de mai dernier sur France 24 la tenue d'une réunion d'urgence des ministres des affaires étrangères arabes à ce sujet et vous aviez affirmé la volonté du Liban de devenir le « pompier diplomatique » de la région. Vous savez que l'échéance du 1er juillet approche, comment envisagez-vous concrètement ce projet ainsi que ses suites et quels sont les objectifs que votre pays a pu mettre en œuvre et comment ceux-ci ont été accueillis ?