Je voudrais dire que ce qui nous gêne dans cette conversation, à part effectivement les interventions tout à fait déplacées d'un de nos collègues qui ne sont pas représentatives de notre Assemblée, c'est que nous sommes d'accord en profondeur avec ce qu'exprime Edgar Morin. Nous sentons bien les choses comme lui, en termes de valeurs, de besoins de local ou de frustrations par rapport au monde tel qu'il est. Cependant, on a énormément de mal, lorsque l'on est un décideur public, à savoir ce qu'il faut faire. Nous sommes dans un monde qui est caractérisé par une fragmentation considérable de l'esprit coopératif. Nos sociétés sont divisées. La montée de la violence et de l'irrespect est partout. Je voudrais poser une simple question très brève : par quoi faut-il commencer pour lutter contre cela ?