Nous savons que de l'agneau néozélandais entre dans l'Union européenne mais, pour l'instant, il fait l'objet de contingents et de taxes. Nous verrons comment préserver, dans les accords à venir, les filières bovine et ovine. Il n'est pas question que les produits arrivent librement au Royaume-Uni et rentrent sans limitation chez nous. Nous étudions de près les conséquences collatérales des accords que les Anglais sont en train de négocier avec la Nouvelle-Zélande, l'Australie et les États-Unis, non seulement en termes de quantité, mais aussi de qualité. Concernant les équidés, nous devrons trouver les moyens d'assurer les contrôles nécessaires pour préserver la sécurité et limiter les risques de maladies animales.