Merci, Michel Barnier, du temps que vous nous avez accordé, alors que les négociations continuent et ne sont pas simples. J'ai compris que vous n'étiez pas fortement optimiste, même si vous êtes un homme engagé et de conviction. La France devra se préparer à une éventuelle sortie sans accord car, si l'accord n'est pas conclu, les Français seront en première ligne le jour où le Royaume-Uni deviendra un pays tiers.