Un scrutin présidentiel a eu lieu en 2018 aux Comores, nous avons pris acte de son résultat. Nous avons également signé un accord le 22 juillet 2019 visant à donner un nouvel élan à notre coopération avec les Comores et impliquant notamment des engagements réciproques en matière d'aide au développement et de maîtrise des flux d'immigration irrégulière.
Le président Azali Assoumani a pris des engagements. Les Comores se trouvent dans une situation compliquée. Les discussions se poursuivent, assorties d'une mobilisation financière significative afin de lutter contre la pandémie dans l'archipel. Nous avons déjà débloqué 1,5 million d'euros. Nous devons marquer notre solidarité avec cet archipel, j'y suis très attaché.
Vous avez raison, il est urgent de remplacer Horst Köhler, ancien émissaire des Nations unies au Sahara occidental, qui a dû quitter son poste pour raisons de santé. Nous l'avons fait savoir au secrétaire général des Nations unies.
Nous serons très vigilants à la façon dont se dérouleront les élections en Côte d'Ivoire.