L'aide française est majoritairement composée de dons : ils représentaient 80 % de nos financements bilatéraux et multilatéraux en 2019, ce qui fait de la France le quatrième bailleur mondial en dons.
Nous souhaitons voir progresser la composante bilatérale de l'aide publique au développement de la France, et la part de cette dernière qui est constituée de dons – c'est écrit à l'alinéa 10. L'OCDE a édicté une norme, mais devons-nous appliquer toutes les normes qu'elle publie ? Du reste, l'Organisation a rendu un rapport sur l'APD française qui relevait beaucoup d'éléments positifs. Notre dynamique est positive et va s'accroître. Regardons le verre aux trois quarts plein.
L'élément de don dans les prêts de la France se situe à 75 % : aller au-delà risquerait de nous priver de possibilités d'interventions, ici ou là. Avis défavorable sur ces amendements.