L'amendement vise à ce que le droit d'initiative soit reconnu aux OSC françaises ou implantées dans les pays partenaires, ce qui permettrait de s'aligner sur les stratégies des États et les besoins locaux. On entend souvent dire qu'il faut au préalable renforcer les capacités de ces pays, car ils ne seraient pas capables de définir les solutions à leurs problèmes. Or, une grande majorité d'entre eux, en particulier en Afrique, ont des réponses endogènes et savent bien mieux que nous ce qu'il faut faire. Il convient donc de leur offrir la possibilité de lancer des initiatives et d'être financé.