Il s'agit, une fois encore, d'améliorer la lisibilité et la transparence de l'aide au développement en demandant qu'un point soit fait sur le pourcentage de l'aide publique au développement alloué aux pays les moins avancés, notamment pour les politiques d'égalité entre les femmes et les hommes, d'éducation et de santé, ainsi que de l'équilibre entre le multilatéral et le bilatéral.