Nous ne renvoyons pas ce texte aux calendes grecques. Le Président de la République a été clair : il souhaite que l'on aboutisse dans le trimestre. Le sujet est complexe. Le sous-amendement, tel qu'il est rédigé, va au-delà de l'aspect purement humanitaire en incluant une partie sur la stabilisation alors que les frontières ne sont pas nettes, et va même au-delà de l'équilibre que nous cherchons à atteindre. Nous voulons continuer à travailler sur ce point – avec vous, naturellement –, raison pour laquelle nous ne souhaitons pas que ce texte soit adopté à ce stade.