Le rapporteur nous invite à revoir la rédaction – ce n'est pas un refus catégorique –, et M. Mbaye fait une proposition : c'est bien qu'il y a un sujet, à la fois d'aide au développement et d'accompagnement des étudiants, qui se trouve, qui plus est, au cœur de ce projet de loi.
Je suis prêt à travailler à une rédaction susceptible d'être acceptée. Jacques Maire a employé des mots simples, mais son intervention est limpide : un accueil décent passe aussi par les frais d'inscription aux universités. Il faut démontrer que notre accueil est de qualité, que nous avons envie de le faire. Aider les pays à développer des talents et des compétences pour leur permettre d'élaborer des politiques ambitieuses, c'est notre choix politique.