Je m'interroge, moi aussi. Les conseillers des Français établis à l'étranger ont effectivement déjà été mentionnés à l'alinéa 22. Le conseil local du développement est une instance qui a vocation à être opérationnelle. Dans la mesure où il sera appelé à se réunir plusieurs fois dans l'année, est-il raisonnable de l'élargir à ce point ? L'ambassadeur aura plutôt besoin d'organiser des réunions de travail « pratico-pratiques ».
D'un autre côté, il serait bon qu'il y ait, une fois par an, un échange plus large avec les élus. Je m'en remets donc à votre sagesse.