Nous n'en sommes qu'à la moitié, sinon au tiers, d'un beau chemin. Je salue tous les députés de tous les groupes qui ont participé à nos débats, et ont contribué à leur qualité. Les sujets internationaux n'intéressent pas forcément toujours nos concitoyens, mais nous avons essayé de les raccrocher à leur quotidien, afin qu'ils prennent conscience que ces problématiques ne sont pas totalement déconnectées de ce qu'ils vivent, tout en portant une vision programmatique et des valeurs fortes.
Je remercie le ministre et le secrétaire d'État de leur présence, ainsi que l'équipe du Quai d'Orsay ; leur soutien est précieux. Je remercie également l'administration de l'Assemblée nationale pour son travail d'excellence et sa très grande réactivité, ainsi que mes collaborateurs parlementaires.
Enfin, je vous remercie, madame la vice-présidente, monsieur le président, pour votre présidence efficace. Il n'était pas simple de reprendre le flambeau de la commission après Marielle de Sarnez. Vous l'avez excellemment fait, avec beaucoup d'humour et avec la grande intelligence qu'on vous connaît. Nos débats se sont déroulés dans un climat serein, ce qui nous a permis d'améliorer le projet de loi. Je suis sûr que de nombreux et beaux débats nous attendent encore dans l'hémicycle pour enrichir ce beau texte du quinquennat, utile pour la France, pour ceux qui mènent les combats contre la pauvreté et pour l'éradication des inégalités et la préservation des biens mondiaux. Nous en avons bien besoin en cette période propice au protectionnisme, au nationalisme et à l'égoïsme.