Pouvez-vous nous en dire davantage sur les négociations qui demeurent difficiles, malgré le moratoire dont vous avez parlé, entre Airbus et Boeing ? Les Européens font-ils cause commune ?
Pouvez-vous nous donner quelques éléments sur l'attractivité de la France ?
Enfin, le plan de relance européen s'élève à 750 milliards d'euros. Cependant, il est encalminé par les décisions des pays qui, pour l'instant, ne l'ont pas ratifié. Ainsi, la Cour de Karlsruhe a exigé la suspension du processus de ratification par l'Allemagne. Nous perdons du temps tandis que les États-Unis mettent sur la table 2 000 milliards de dollars. Ce retard nous pose un vrai problème dans la compétition internationale.