Je trouve contestable la maxime « là où il y a une volonté, il y a un chemin », car la volonté ne tient pas lieu de réalité. Je vous propose d'en inverser les termes pour l'appliquer à la solution des deux États : c'est bien parce qu'il existe un seul chemin, même semé d'embûches, qu'il faut une volonté. C'est d'ailleurs cette vraie maxime qui a inspiré de Gaulle en 1940 : comme il existait un chemin vers la victoire, il fallait que la France libre y participe.