Le problème ne se situe pas entre le système public et les assurances privées, monsieur Lecoq, il se pose lorsqu'il s'agit d'affilier des personnes expatriées. Si l'organisme en question a dû bâtir un système, c'est parce qu'il devait gérer les droits de personnes provenant de plusieurs États ; les systèmes publics, en France et ailleurs, ne sont pas familiarisés avec ce type de gestion. Cet accord constitue donc une réponse pragmatique à une situation réelle ; il n'y a pas de dimension idéologique dans le choix qui vous est proposé, mais simplement la nécessité de faire face.
L'attractivité de la place de Paris n'est pas un argument idiot : les personnes doivent pouvoir s'installer en France pour y travailler en toute sérénité, sans risquer de se trouver dans une situation précaire.