Le député français que je suis ne peut que se réjouir de cet accord, qui va contribuer au rayonnement de la France – le rapporteur a eu raison d'employer ce mot. Que l'on soit européen, pro-européen, européiste, ou même un peu souverainiste, comme c'est mon cas, on ne peut que se réjouir du fait que la France détienne un certain nombre de sièges européens. Et cet accord conforte la position de la France.
Le député des Hauts-de-France que je suis se réjouit également. Si Toulouse et sa région ont l'avion, nous, nous avons le train. Conforter ce siège est essentiel pour notre région.
Je vous remercie, monsieur le rapporteur, d'avoir valorisé cet accord, qui relève un peu du train-train législatif. J'ai une seule question à vous poser. Qu'en est-il de la libre circulation entre la France et l'Angleterre à l'heure du Brexit ? Que se passe-t-il sur la ligne directe qui relie nos deux pays à travers le tunnel sous la Manche ?