Vous avez déclaré devant la représentation nationale, le 4 janvier dernier, que l'Europe devait faire entendre sa voix et défendre ses intérêts dans la crise ukrainienne. Pensez-vous que le sommet qui se tiendra demain à Brest sera l'occasion d'officialiser une position commune des Vingt-Sept de nature à affirmer la souveraineté européenne souhaitée par le Président de la République ?
Concernant les Balkans occidentaux, le Président la République a rappelé lors de la présentation du programme de la PFUE qu'il fallait se réengager et réinvestir cette région et qu'il était nécessaire de clarifier la perspective européenne de certains de ces pays. Pensez-vous qu'il existe une réelle chance pour que les négociations entre l'Union européenne et la Macédoine du Nord ainsi que l'Albanie commencent au cours de la présidence française ?