Effectivement, l'enjeu n'est pas d'aller faire du tourisme au Tadjikistan : le fait que le fils du commandant Massoud s'y réfugie, que ce pays abrite une forme de résistance aux talibans témoigne de son importance géopolitique.
Nous connaissons tous la passion de M. Cabaré pour les pays d'Asie centrale, qu'il connaît bien, comme en témoignent ses propos. Je salue également son humanisme.
Comme M. Petit, j'aime beaucoup la Pologne. On sait à quelles difficultés terribles ce pays a été confronté au cours de son histoire. Il est indispensable de connaître les pays étrangers, surtout quand ils ne sont pas très éloignés du nôtre, comme c'est le cas de la Pologne ou même de l'Ukraine. Il faut préserver la qualité des relations internationales, contrairement à ce qu'a fait quelqu'un comme Trump, qui avait trouvé le moyen de confondre l'Afghanistan et le Pakistan dans son premier discours. Merci, monsieur Petit, pour votre action en faveur de l'amitié franco-polonaise.
Merci pour vos propos, cher Alain David. Nous n'avons jamais été très éloignés politiquement. L'amitié entre la France et le Tadjikistan peut effectivement constituer un îlot précieux dans la région sur le plan géopolitique.
Monsieur Clément, le gouvernement actuel et ceux qui le suivront pourraient aller plus loin dans le domaine de la coopération militaire et policière. Le Tadjikistan n'est pas forcément le pays le plus parfait s'agissant de la corruption : nous pourrions lui donner un sérieux coup de main.
Je salue le président de notre commission, qui a été largement à la hauteur depuis qu'il a remplacé la défunte Marielle de Sarnez.
C'est le dernier rapport que je présente en tant que parlementaire. À titre de plaisanterie, je le dédie au président de l'Assemblée nationale, connu pour adorer les aéroplanes…