Je me fais le porte-parole de Jean-Jacques Ferrara, rapporteur pour avis sur les crédits budgétaires de l'armée de l'air.
Comment entendez-vous résorber la dette organique accumulée par l'armée de l'air, compte tenu des moyens qu'elle a dû détourner de ses missions normales ? Dans le plan de relance, quelle place sera accordée à l'armée de l'air et à l'industrie aéronautique, notamment concernant les commandes de Puma à Airbus Helicopters ? Quelles sont vos premières idées dans la perspective de l'actualisation de la LPM prévue l'année prochaine ?