Les importants moyens du service de santé des armées, en termes de personnel, de capacités et de recherche, ont été peu à peu transférés vers les services de santé civils. Dans la durée, les spécificités du SSA seront-elles suffisantes pour faire face à de nouvelles pandémies ou en cas d'attentats terroristes ?
Le domaine civil a-t-il bien pris le relais des recherches qui étaient menées par les armées, notamment dans le domaine biologique ?