Pour mener à bien nos travaux, nous avons entendu les principaux acteurs institutionnels français et internationaux engagés dans le cadre des négociations internationales sur les SALA, mais également des chercheurs en sciences humaines et en robotique, des représentants des états-majors et des acteurs industriels, des juristes, des philosophes, des ingénieurs et des représentants des grandes organisations non gouvernementales internationales.
Ce regard panoptique nous semblait nécessaire pour aborder un sujet qui touche, en fait, à l'humanisme et à la place de l'homme face à la machine.