Le fonctionnement de la DICoD et, plus généralement, la complexité de l'organigramme de la communication de nos armées ne sont sans doute pas étrangers au coup de colère, en février, de l'association des journalistes de défense. On sait aujourd'hui que la communication est non seulement un outil de transparence démocratique, mais aussi une arme. Nos adversaires au Sahel, par une communication très offensive, ont essayé ainsi de dévaloriser l'image de la France. Pensez-vous que la réorganisation de la communication des armées devrait clairement intégrer un outil offensif ?