Monsieur Lejeune, le président Bazoum évoquait non pas Barkhane, mais l'ensemble de l'action conduite par la communauté internationale. Quant aux perspectives, il a tenu un discours qui rejoint, parfois, ce que nous avons évoqué : moins d'emprise terrestre, maintien des capacités critiques. La France est présente au Niger au travers de sa base aérienne projetée, conséquente. La France et le Niger sont des alliés fidèles et je crois que cette affaire a donné lieu à des gros titres exagérant les choses.