Madame la secrétaire générale, le sous-effectif des sous-officiers est-il dû aux difficultés de fidélisation ou à d'autres causes ?
Vous l'avez très bien dit, il faut anticiper. Nous préparons nos armées à des conflits de haute intensité et le service de santé des armées doit suivre. Dans la LPM, avons-nous suffisamment anticipé dans ce domaine ? Un réajustement n'est-il pas souhaitable pour être à effectifs complets et suffisants au regard du temps nécessaire pour former un médecin ou une infirmière ?