Vous avez évoqué la marine chinoise, en particulier les refus d'accès, que nous évoquons régulièrement. Mais, outre le haut du spectre, il existe le volet accidentel, à l'image de ce qui s'est produit dans le canal de Suez, après que l'échouage d'un porte-conteneurs a bloqué une partie du trafic mondial. Un accident organisé par un pays ne pourrait-il être un moyen de porter atteinte à la capacité de la marine militaire méditerranéenne, en particulier française, de rejoindre différents théâtres d'opération ?