La question de la mobilisation de la trésorerie de l'Office national des anciens combattants et victimes de guerre (ONACVG) est récurrente. L'an dernier, nous avions ainsi mobilisé 4 millions d'euros provenant de la cession des maisons de retraite gérées par cet organisme. Tout l'enjeu est d'éviter que Bercy, institution aussi efficace que gourmande, n'emploie ces fonds à d'autres fins. Le contrat d'objectifs et de performance (COP) de l'ONACVG a donc défini une trajectoire budgétaire stabilisant les ressources de l'organisme pendant cinq ans. Comme vous l'avez constaté hier, tous les anciens combattants approuvent cette démarche.
Je demande le retrait de l'amendement ; à défaut, avis défavorable.