Cela fait en effet partie des éléments qui ont été mis en avant par nos interlocuteurs, à savoir que la marine doit avoir ses propres drones dotés de capacités de survol maritime. L'autre problématique est celle de la lenteur de nos procédures administratives et techniques pour valider et homologuer nos équipements, de sorte qu'au moment où l'armée est dotée, le matériel est quasiment obsolescent. Il s'agit d'un vrai sujet sur lequel nous devons nous pencher.