Très honnêtement, nous sommes vraiment plus forts au niveau européen qu'au niveau international en termes de collaboration et de réseau.
Toutefois, en termes de veille sanitaire et épidémiologique, nous effectuons une veille en Afrique. Grâce à la présence de nos forces, nous sommes souvent capables de mettre en évidence des émergences. En particulier, l'année dernière, nous avons mis en évidence l'émergence du chikungunya à Djibouti et nous avions été très proactifs.
Je dirais que c'est plus au niveau du travail que nous faisons avec les forces en opérations extérieures que nous avons un impact au niveau international.