Nous n'avons pas observé de ralentissement des demandes depuis le 1er juillet 2021, mais nous manquons de recul. Dans le cadre de la LFSS pour 2020, la réforme des ATU d'extension d'indication a précédé la réforme de l'accès précoce. Nous n'avons pas identifié de frein dans le nombre de demandes d'extension d'indications qui était important. La position de la France est pionnière dans un certain nombre de sujets, tels que la Covid-19, les anticorps monoclonaux, les antiviraux, l'oncologie. Nous avons été le premier État au niveau européen à permettre l'accès précoce aux anticorps monoclonaux, qui présente un intérêt majeur pour les patients immunodéprimés, à la fois de manière préventive et curative.