. Cela dépend de la typologie du projet de santé. Dans le cas du candidat-médicament, la phase la plus risquée est la phase 3 clinique. Elle est assumée par l'industrie pharmaceutique, car la puissance financière nécessaire se chiffre à des centaines de millions d'euros. La start-up va généralement jusqu'aux phases 1 et 2 puis est reprise par un industriel pharmaceutique qui seul peut assumer la phase 3, qui est en effet la plus risquée dans le domaine du médicament. Pour les autres typologies, le risque scientifique technique est connu et le problème relève plutôt du financement pur.