Le taux d'incorporation de l'acier français s'élève à 49 %, tandis qu'il est de 69 % aux États-Unis. Nous partageons ainsi ce type de données, nous en donnons les clés de lecture et les raisons historiques, puis nous élaborons des propositions et soutenons les obligations d'incorporation qui permettent de sécuriser les filières. En effet, l'investisseur, c'est-à-dire par exemple le sidérurgiste, sera rassuré sur la demande et il sera alors beaucoup plus aisé pour nous de trouver un accord avec lui.