Il est nécessaire de concentrer les pouvoirs. La question de l'industrie doit revenir au Premier ministre ou au vice-premier ministre. Il s'agit de débureaucratiser l'État. Ce pays est bloqué. Je ne lis pas assidûment Gaspard Koenig, mais je vous recommande son ouvrage Simplifions-nous la vie. J'ai participé à l'échec du choc de simplification du précédent président de la République, François Hollande. Je serai d'avis que soit nommé un vice-premier ministre qui s'occuperait de débureaucratisation, d'effectuer la jonction entre la formation professionnelle, la recherche, l'industrie et l'agriculture. La formation professionnelle et la recherche fonctionnent ensemble. L'enjeu est d'éviter les divisions ministérielles. Il s'agit de constituer un « Chevènement augmenté ».