Vous avez dit, mesdames et messieurs, que le SNU n'était pas une priorité. Pouvez-vous préciser pourquoi ?
Le SNU pourrait-il être un levier pour donner du sens à l'engagement, surtout dans une période comme celle que nous connaissons ? Est-ce la forme ou le fond qui vous gêne, ou n'est-ce simplement pas le moment ?
Avez-vous vu, parmi toutes les difficultés que les jeunes vous ont remontées, des difficultés différentes entre les jeunes femmes et les jeunes hommes ?