Nous n'avons pas parlé des ressorts positifs de cette crise. En existe-t-il ? Quelles sont les ressources que vous avez déployées vous-mêmes et entre vous ? Je suis toujours assez frappée par l'isolement de l'individu jeune, y compris dans une faculté. Il faudra également aborder la question des événements festifs pour les jeunes, mais aussi les mauvaises habitudes de sédentarisation, d'écrans, la privation de liberté, d'espace… Je vous propose de nous alimenter avec des cas concrets, des parcours de jeunes incarnés, des jeunes au collège, au lycée, des jeunes non représentés, sans parole. Je pense par exemple à Florence Provendier avec les parcours de ces jeunes mineurs non accompagnés. Cela permettrait d'avoir un rapport vivant et incarné. Nous allons vous mettre en contact et nous sommes preneurs de propositions.