Je vous communique mes questions, mais nous n'en débattrons pas aujourd'hui et nous les traiterons par mail.
Une réelle réflexion est-elle menée quant à la responsabilité des étudiants dans cette nouvelle vie avec le Covid ?
Avez-vous observé une augmentation (ou un arrêt) des stigmatisations, des radicalismes, des « complotismes » ?
Quels sont les ressorts positifs que vous avez notés au cours de cette période inédite ?
Qu'est-ce qui a bien fonctionné ? Nous avons surtout évoqué les dysfonctionnements.
L'élan d'engagement perdure-t-il ou est-il retombé ?
Passons-nous à côté des forces et des idées de la jeunesse ?
Comment devons-nous procéder de sorte à ne pas être contre-productifs, au-delà de la nécessité de concertation que vous avez évoquée ?
Je voulais également préciser que le guichet unique que nous appelons tous de nos vœux existe à Toulouse et qu'il fonctionne très bien, à tel point, d'ailleurs, que je m'interroge quant à une forme d'assistanat des étudiants.
Je vous remercie pour votre présence et pour la richesse de vos interventions. Je vous invite à poursuivre activement nos échanges par mail jusqu'à l'échéance de la mission, le 19 novembre prochain.
Nous aborderons la santé physique et psychique lors des tables rondes de la semaine prochaine.