Nous avions appelé ces jardins « les jardins partagés », mais les maires n'ont pas voulu prendre la responsabilité d'en faire une sorte d'institution. La pratique s'est diffusée de voisin en voisin, mais les maires ont refusé d'institutionnaliser le partage, pendant une heure, d'un jardin avec un enfant autiste. Ceci a été également vrai en Ile-de-France. De nombreuses tentatives citoyennes ont été menées en faveur de ce partage, mais nous ne savions pas à qui nous adresser, car aucun acteur ne voulait en porter la responsabilité.