Merci pour vos témoignages. J'ai bien compris la nécessité de la coordination, à deux niveaux, pour offrir plus de moyens et de qualité aux enfants et plus de valorisation des métiers. Grâce à cette coordination, tous les acteurs sont concernés, aussi bien les bénéficiaires que ceux qui s'en occupent. Sur le papier, cela paraît évident et de bon sens, et nous nous demandons pourquoi cette coordination n'a pas été mise en œuvre plus tôt. Je suis tout à fait prête à accueillir cette coordination dans le Chinonais ou dans la métropole de Tours, en Indre-et-Loire. Quels seraient les freins de la part des acteurs ? Quels seraient les freins financiers ? Qui serait favorable et qui ne le serait pas ?
Par ailleurs, pendant le confinement, certains parents se sont trouvés en grande difficulté. Je voudrais également aborder la souffrance des enfants pendant cette période. Vous avez parlé de régression dans les acquisitions. Comment ces enfants vont-ils aujourd'hui ? De quoi ont-ils besoin ? Les retards et les régressions ont-ils été rattrapés ? Eprouvent-ils toujours une douleur par rapport à ce confinement ? Arrivent-ils à l'exprimer ? Ont-ils peur que cela revienne ?