Il pourrait être intéressant de reprendre contact avec les représentants des associations, afin qu'ils nous citent des cas particuliers, que nous pourrions étudier dans le détail. Dans le cadre des violences intrafamiliales, les enfants correspondent à ce que nous appelons des co-victimes, qui sont donc prises en charge au même titre que la mère victime.
Il me paraît bizarre que des situations d'enfants victimes de violences « parentales » n'aient pas été traitées, alors que la gendarmerie ou la police nationale avait connaissance des faits. Je ne vois donc aucune difficulté à m'entretenir directement avec les représentants des associations, afin qu'ils me citent des cas précis, ce qui nous permettra aussi de nous améliorer.