Nous ne disposons pas d'étude particulière sur ces situations, mais nous avons constaté une activité plus importante sur Internet, ainsi que des échanges plus nombreux sur les réseaux sociaux et, en pourcentage, plus de délinquance liée à l'utilisation des outils informatiques. Nous n'avons cependant pas constaté d'augmentation de la prostitution des mineurs sur Internet durant le confinement.