. D'après les associations, vous préférez ne pas vous rendre dans les unités d'accueil médico-judiciaires, mais entendre les enfants dans les commissariats, ce qui serait préjudiciable à l'audition des enfants.
Par ailleurs, nous savons que dans les grandes métropoles, nombre de personnes précaires sont renvoyées vers les périphéries, voire dans le milieu rural, évidemment bien moins dotées en associations. Comment cela se passe-t-il, là, de manière très concrète, en période de confinement ? Nous avons en effet perçu une forme de désespérance, y compris chez certains maires qui ne savaient pas comment gérer des personnes qu'ils ne connaissent pas bien et relèvent de la grande précarité.