Je reprendrai la formule de la présidente : que fait l'État ? Vous avez employé cette expression formulée par la présidente de votre organisation, s'agissant de reconstruire la dignité des plus pauvres sur des miettes.
Vous évoquiez le dispositif ALERTE. Pouvez-vous nous en dire davantage sur les moyens dont vous disposez en tant qu'associations pour vous faire entendre auprès des responsables publics et politiques ? Quelles sont les associations qui participent à ce mouvement de mobilisation ?
S'agissant de la visibilité des enfants et des jeunes dans les politiques publiques, je pense qu'il nous faut réfléchir au sein de l'Assemblée nationale, où nous avons très peu de débats sur cette question. Au niveau de la représentation nationale, nous aurions besoin d'une structure permanente portant sur l'enfance et la jeunesse, dans le cadre d'un travail régulier sur ces questions.