Ma première question porte sur les enjeux spécifiques aux outre-mer, où la continuité pédagogique semble avoir été compliquée à instaurer. Etes-vous en mesure de nous communiquer des données à ce sujet ?
Par ailleurs, dans la mesure où nous entendons parler de jeunes invisibles et de familles invisibles, avez-vous développé, durant cette crise sanitaire, des solutions vous permettant d'aller vers ces familles que vous ne touchez peut-être jamais en temps normal ?